l’homme, le nouveau sexe faible

FIRST_HOMME_08Manifeste pour un nouveau mâle
Un livre de Yves Deloison

Dans un monde où nul n’a plus de destin tracé, où chacun doit construire sa vie, sa posture et son bonheur, tout est en mouvement et le masculin n’échappe pas à la tourmente. Salarié, père, époux et amant, l’homme semble avoir perdu ses repères, déstabilisé par l’effondrement de la figure traditionnelle d’une domination tous azimuts.

Deux solutions s’offrent à lui : s’épancher dans le giron réactionnaire des masculinistes en regardant les femmes et le monde s’organiser sans lui, ou réagir avec toute son énergie pour se libérer d’un carcan inadapté qui le cantonne pour le moment au combat, à l’autorité et à l’indifférence.

Parce qu’il est possible de concilier masculinité et sensibilité, investissement professionnel et familial, en s’affranchissant des tristes théories rampantes sur la dévirilisation de la société.

Après Pourquoi les femmes se font toujours avoir ? (First, 2013), Yves Deloison livre ici, études et statistiques à l’appui, un plaidoyer pour encourager les hommes à comprendre et à adhérer à une nouvelle définition des rôles sociaux et familiaux, et à s’y épanouir pleinement.

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Un commentaire Ajoutez les votres
  1. Cher Yves,

    J’ignore totalement si ce mail vous atteindra ou pas….je vous suppose overbooké de mails et autres moyens
    de communication.

    Tout d’abord je tiens à vous féliciter pour la lucidité dont vous faites preuve en vous attaquant à ce sujet si dėlicat
    que celui du masculin/ féminin, et pour votre optimisme en ce début de 21e siècle.

    Bien que travaillant dans un secteur artistique, je me passionne depuis toujours pour les sciences humaines, et
    depuis un certain temps, comme vous, je m’interesse de près aux relations femme/ homme (pour ne plus dire homme/femme..)
    Et pour faire suite à la lecture de votre livre « l’homme, le nouveau sexe faible », je m’étonne du journaliste avisé que vous êtes, si proche mentalement
    des femmes
    d’ aujourd’hui, alors que d’autres nous fuient.
    Plus nous avançons, plus les sciences se rapprochent de ce rêve auquel nous aspirons, si nombreuses,,
    celui de l’égalité entre « femmes et hommes », autant d’un point de vue biologique que sociologique.(cf « les hommes, le sexe fort? », Pr Gérald
    Hüther).

    Je suis intimement persuadée que c’est à nous les femmes de faire évoluer la société actuelle, en pleine mutation. Non pas par féminisme
    ni sentiment de supériorité, mais parce qu’il en va de l’avenir de nous tous.
    Oui, beaucoup d’hommes ont peur de perdre leur « 1ere place » et ont peur d’ětre ainsi castrés (j’y vais un peu fort, mais c’est
    le terme qu’utilisent certains).
    Je fais partie de ces femmes autonomes et indépendantes qui ont envie d’encourager les hommes ouverts au changement
    et à l’évolution positive de notre sociétė.
    Ne castrons pas, aidons!

    Je donnerai cher pour croiser sur ma route d’autres hommes de notre génération favorables au changement !

    J’attends avec impatience votre prochain livre, qui serait le reflet de la sociėté de demain.
    Encore félicitations, vous ětes en avance sur votre temps, tout comme l’ont été Elisabeth Badinther, Françoise Héritier,
    Simone Weil et quelques autres…

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